Pandémie à Wuhan

La Chine et le SARS-Covid-19

A l’heure où de nombreux cercles remettent en cause l’origine « officielle » du COVID-19, j’ai voulu faire part de mon point de vue sur la situation et l’environnement technique et politique en Chine.

Rapports de l’OMS sur l’origine du COVID-19

Le rapport de la soi-disant « équipe d’experts de l’OMS » qui s’est rendu à Wuhan fin Janvier 2021 n’a pas été concluant : après avoir travaillé environ deux semaines sous contrôle des autorités chinoises, elle avait conclu dans une piteuse conférence de presse n’avoir aucune certitude, aucune preuve, aucune réponse, sur aucun plan.

En Avril 21, puis en Juin, des scientifiques de renommée internationale ont publié une lettre ouverte appelant à une nouvelle enquête approfondie sur l’origine de la pandémie de COVID-19 par une équipe d’enquête internationale, enquête qui devrait inclure la possibilité que le virus se soit échappé du laboratoire …

« De nombreux scientifiques gouvernementaux et individuels à travers le monde ont déjà rassemblé et commencé à analyser des quantités importantes de données pertinentes. »

Un mois plus tard, 19 juillet, sans réaction de la Chine, l’OMS appelle à un audit des laboratoires de Wuhan, dans le cadre d’une deuxième phase d’enquêtes sur les origines du COVID-19 après que la première phase n’ait pas réussi à garantir la transparence et le partage d’informations du régime chinois. Cette enquête nécessitera « des audits des laboratoires et des instituts de recherche », ainsi que des études de certaines zones résidentielles de Wuhan et des marchés de la faune et des animaux du centre-ville, y compris le marché des fruits de mer de Hunan.

Réactions de la Chine

Au fil des semaines et des mois de la pandémie, l’accumulation de preuves circonstancielles indiquant le laboratoire de Wuhan n’a cessé de croître, jusqu’à ce qu’elle devienne trop importante pour être ignorée, mais …

Le vice-ministre de la Commission nationale de la santé de la Chine, Zeng Yixin, a rejeté la proposition de l’OMS le 22 juillet et a affirmé que la proposition « ne respectait pas le bon sens et violait la science », notant en outre que Pékin « ne peut pas accepter ce genre de plan.

Wuhan

Wuhan, dans la province de Hubei, est la 10ème ville de Chine. Avec environ 10 millions d’habitants, elle représente 0,66% de la population chinoise.

  • À partir de Novembre 2019 ont été enregistrés d’un à cinq nouveaux cas de COVID-19 par jour dans la région du Hubei. La cadence s’est accélérée après le 15 décembre, et les nouvelles contaminations se sont alors comptées par dizaines.
  • Le 20 janvier 2020, la Chine annonce 139 nouveaux cas d’infection par le coronavirus (2019-nCoV) en deux jours, l’épidémie s’étendant de Wuhan à d’autres grandes villes.
  • Les jours suivants, le monde a découvert Wuhan, avec stupéfaction d’abord, avec horreur ensuite le berceau d’une pandémie.

En Février 2020, les 10 millions d’habitants de Wuhan furent confinée pendant 3 mois. Ni trains, ni vols pour les habitants de cette ville, épicentre de l’épidémie.

LES HÔPITAUX DE WUHAN

Dans un premier temps on a admiré avec quelle célérité, avec quelle efficacité la Chine construisait ex-nihilo un centre hospitalier de 1.000 lits en 10 jours

Avec un peu de recul, cette prouesse est-elle réellement une prouesse ?

  • Était-ce vraiment une opération improvisée ?
  • Ou au contraire une des étapes d’un plan stratégique ?

Était-ce la part du feu, le prix à payer pour … le « rêve chinois » de Xi Jinping … ?

Que seraient-ce en effet les 4.640 chinois morts du COVID-19 … par rapport aux 10.000 de Tian’anmen, aux millions des Gardes Rouges, aux 100.000 de la Longue Marche, ou pis encore aux 30 millions de morts dus au « Grand Bond en avant » de Mao en 1958 ?

Le « rêve chinois » de Xi Jinping

En 1644, la nouvelle dynastie Qing, s’achèvera par la Révolution de 1911 et la proclamation de la république de Chine par Sun Yat-sen en janvier 1912

  • En 1921, il y a 100 ans, s’est tenu à Shanghai le premier congrès national du PCC.
  • En 1927, Wuhan est la capitale du Parti Communiste Chinois. Mao Tsé Toung a dirigé le Parti à partir de 1935, à l’issue de La Longue Marche qui coûta la vie à près de 100.000 partisans.
  • En octobre 1949, il y a 70 ans, Mao Tsé Toung proclame la République Populaire de Chine.

Depuis lors, c’est le PCC qui dirige la politique en Chine.

  • Il y aurait 91 millions de membres (3 millions de militaires et policiers). Chaque poste à responsabilité est contrôlé par un commissaire politique.
  • De 1966 à 1968, Mao mobilise les Gardes Rouges qui feront plusieurs millions de victimes.  Le président Liu Shaoqi et Deng Xiaoping seront « rééduqués » par un lavage de cerveau.
  • De 1977 à 1990 Deng Xiaoping revient au pouvoir et réforme la Chine qui passe de l’état de pays sous-développé à celui de 2ème puissance mondiale, avec l’ambition de devenir la première.

En 2012, Xi Jinping – après avoir lui-même subi une « rééducation » – prend le pouvoir avec le concept de « rêve chinois » : « faire renaître l’ancienne puissance de la Chine ».

  • Xi Jinping s’engage à réprimer la corruption, ce qui lui permet d’éliminer ses opposants.
  • En 2018 Xi Jinping supprime la limitation des mandats et peut rester à vie au pouvoir.

 En 1973, il y a 50 ans, Alain Peyrefitte affirmait que, compte tenu de la taille et la croissance de sa population, la Chine finirait par s’imposer au reste du monde dès qu’elle aurait maîtrisé une technologie suffisante.

L’idéologie la Chine est de « Créer quelque chose à partir de rien », avec les technologies de l’Industrie, de l’Agriculture, de la Défense nationale et des Sciences et Techniques, de la Santé.

Face aux USA, la Chine est aujourd’hui se pose en leader dans nombre de domaines tels que :

  • L’Informatique, ordinateurs et Big-datas
  • L’Intelligence Artificielle et la Robotique
  • Les Télécommunications, l’Internet des Objets et le GPS chinois « BeiDou »
  • L’Espace
  • Les Biotechnologies et les modifications génétiques

Big Brother

Toutes ces technologies permettent une surveillance globale des chinois : Xi Jinping a développé son projet (2014) de contrôle des citoyens chinois, appelé « l’œil céleste » : technologies de vidéo-surveillance : 5G, Big-datas et reconnaissance faciale.
Un système de « crédit social » où un certain nombre « d’incivilités » entraînent la baisse de la note du citoyen, lui interdisent – par exemple – de prendre le train et l’avion …

Xi Jinping a parallèlement instauré un culte de la personnalité qui sévit jusque dans les écoles, les universités, les administrations, l’armée et les entreprises.

Xi Jinping est partout et tout puissant …

Mais comme disait Rabelais dans Pantagruel :

« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme »

Pourquoi est-ce à Wuhan  ?

Jeux Mondiaux Militaires d’Été – Octobre 2019

Si on croit aux symboles …

  • Ce n’est peut-être pas par hasard que Xi Jinping a organisé ces Jeux à Wuhan, 10ème ville de Chine, mais peut-être parce que Wuhan a été la capitale de la Chine communiste, en 1927
  • Octobre 2019, c’était aussi le 70ème anniversaire de la proclamation par Mao Tsé Toung de la fondation de la république populaire de Chine.

Le marché de Wuhan et les Chauves-souris

Le marché Hunan à Wuhan est apparu comme le point de départ de l’épidémie. Il est situé à proximité de l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV) et de son Laboratoire P4.

L’Institut de virologie de Wuhan et les Chauves-souris

  • En 2015, l’Institut ouvre le premier laboratoire P4 de Chine
  • On a appris que ce laboratoire de Wuhan est le plus grand dépôt de coronavirus de chauve-souris en Asie.
  • On y trouverait, selon plusieurs sources, 10 000 échantillons collectés sur des chauves-souris.

Des chauves-souris qui servaient aux analyses et manipulations génétiques ont-ils pu finir au marché de Wuhan ? Serait-ce alors une fuite accidentelle ?

Technologies et Manipulations Génétiques à WUHAN

La Chine s’est dotée de moyens biotechnologiques considérables, en particulier le Laboratoire P4 de Wuhan et le Beijing Genomics Institute.

Ils ont mis en œuvre les technologies les plus récentes pour analyser et modifier les génomes des coronavirus :

  • L’Intelligence artificielle d’une part,
  • Les Ciseaux CRISPR-Cas9, CRISPRoff et CRISPRon et leurs mécanismes complexes.

Juste un petit éclairage sur ces points.

Le Beijing Genomics Institute est l’un des plus grands centres de séquençage de l’ADN au monde, il cherche les gènes de l’intelligence (axe prioritaire en Chine) et est la plus grande plate-forme de séquençage du monde.

L’Intelligence artificielle (IA)

En plus de la puissance des supercalculateurs chinois il est possible de collecter un volume gigantesque de données avec lesquelles l’IA peut « entraîner » et créer des algorithmes pour les rendre plus performants.

En génie génétique, avec des réseaux de neurones artificiels on a pu appliquer le « deep learning » sur des informations génétiques, « formés pour apprendre les distributions complexes de véritables ensembles de données génomiques », à partir de génomes humains ou animaux accessibles dans des Big-datas : on peut alors générer de nouveaux génomes artificiels.

CRISPR-Cas9 les ciseaux génétiques

La technologie des « ciseaux moléculaires » CRISPR-Cas9, CRISPRoff et CRISPRon ont révolutionné la manipulation du génome par sa précision et sa plus grande facilité d’utilisation. Elle permet d’aller couper le brin d’ADN ou d’ARN à un endroit précis, choisi, voire d’y insérer du matériel génétique afin de modifier le code à l’intérieur de la cellule.

  • Avant les CRISPR, Il fallait environ un an pour obtenir une lignée mutante stable chez la souris.
  • Depuis il suffit de deux heures pour déterminer la séquence CRISPR contre le gène à cibler.

Gains de Fonction

Le laboratoire P4 utilise ces deux technologies pour manipuler les virus, dont celui du VIH et les coronavirus des chauves-souris en leur appliquant des « Gains de Fonction »

Les GOF permettent de créer des virus artificiels en ajoutant des capacités nouvelles ou améliorées pour augmenter leur transmissibilité, leur pathogénicité, leur virulence ou leur létalité, dans le but d’étudier quels nouveaux agents pathogènes pourraient émerger et comment s’en prémunir.

En Chine, les travaux concernent notamment :

    • Animaux génétiquement modifiés – rats, souris, chiens …
  • Modifications de gènes sur des embryons humains, et Lulu et Nana, 2 jumelles aux gènes modifiés.
  • Injection de cellules souches humaines dans les embryons de singes pour que les organes cultivés chez les singes puissent être transplantés chez l’homme.

La Pandémie

Situation en Juillet 21

Il y avait 190 millions de personnes infectés et 4 millions de décès dans le monde.

  • La Chine – au 107ème rang – ne déplore que 92.000 cas et 4.640 décès.
    Soit 64 cas et 3 décès par million d’habitants.
  • La Finlande, petit pays au 100ème rang, affiche 100.000 cas …
  • Les USA – au 1er rang – 34.6 millions de cas et 620.000 décès.
    Soit 104.000 cas et 1.870 décès par million d’habitants.

Le virus chinois (nommé ‘virus PCC’ aux USA) a atteint tous les pays du monde …
Mais on doit s’étonner que ce virus n’ait envahi ni Pékin, ni Shanghai, ni Canton centres économiques – pourtant situés à moins de 1.000 kilomètres de Wuhan.

Le variant DELTA

DELTA s’abat sur le monde de manière exponentielle semble épargner la Chine.
Le 2 Juillet, par exemple, l’évolution quotidienne du nombre cas est :

  • 84% au Royaume Uni, 31% en France, 77% en Iran, 17% en Israël, 29% au Portugal, 39% en Russie, 66% en Espagne.
  • Cette évolution est inférieure à 3% pour la Chine.

Comment expliquer ces disparités ?

L’effet de la vaccination n’est pas probant !

Nous pensons à quelques pistes, dans la rubrique Arme biologique

Comment la pandémie a-t-elle pris naissance ?

Plusieurs hypothèses sont avancées …

Est-elle survenue en raison d’une cause naturelle ou au contraire est-elle le résultat d’une conjonction d’erreurs, de fautes, ou même encore, et ce serait grave, le résultat de décisions, de volontés et malveillances délibérées ?

  • Cause naturelle, zoonose, encore privilégiée par un certain nombre de cercles
  • Fuite accidentelle du laboratoire chinois.
  • Fuite intentionnelle du laboratoire chinois

Rappelons les missions du labo P4 :

  • Trouver un vaccin contre le SIDA qui ravage la Chine…
  • Trouver un vaccin contre le coronavirus qui dévaste les élevages de visons …
  • Et, peut-être aussi, de trouver un virus qui dévasterait les « pays hostiles » ?

Causes naturelles ?

Les chauves-souris.

Théorie officielle de la Chine, il s’agirait de l’émergence d’un réservoir animal qui a ensuite infecté des individus : l’infection est due à un coronavirus de chauve-souris qui aurait muté via un animal intermédiaire.

Oui, mais alors d’où viennent ces chauves-souris dont l’habitat naturel est à 1.000 kilomètres de Wuhan, dans la province de Canton (Guangdong), au sud-est de la Chine.

Quelle est la probabilité que ces chauves-souris viennent s’installer par hasard précisément au marché de Wuhan ?

Cette probabilité est de 0.66%, ce qui est le pourcentage de la population de Wuhan en Chine. Tout à fait improbable donc ! Ces chauves-souris ont été « récoltés » par la microbiologiste Shi Zheng-li qui depuis 2005 dirige les travaux de l’Institut de Wuhan.

Animal intermédiaire ?

L’animal intermédiaire tant recherché n’a toujours pas été trouvé : ni le pangolin d’abord incriminé, ni des visons (jusqu’en janvier 2020, il était bel et bien courant de manger du vison en Chine, peut-être en trouvait-on dans le fameux marché de Wuhan ?)

Notons que les chauves-souris cohabitaient dans des cages avec les visons …

Autres Causes ?

Par différence, les autres causes ont donc une probabilité de … 99.34% !

« Accident » au laboratoire de Wuhan 

Le 14 mai 2021, la thèse de l’accident effectue un retour fracassant, avec la lettre de scientifiques de renom qui publient dans la revue Science en réclamant que les deux théories soient traitées de la même façon.

Simple coïncidence ? Cette lettre a été publiée en même temps qu’une série de documents inédits sur des travaux menés à l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV), sur les coronavirus (dont certains remontent à… 2014, comme le montrait la chaine de TV Italienne RAI 3 en 2015).

Ces documents « remettent en cause certaines données sur le nombre et la nature des coronavirus conservés par le WIV, sur les expériences conduites sur ces virus et même sur l’intégrité des séquences génétiques virales publiées par l’Institution de Wuhan ».

Rappelons quelques faits :

  • Il y a un Institut de Virologie à Wuhan (WIV) avec son Laboratoire P4
  • Le WIV possède est le plus grand dépôt de coronavirus de chauves-souris en Asie.
  • Le laboratoire P4 manipule les virus, dont celui du VIH et les coronavirus des chauves-souris en leur appliquant des « Gains de Fonction »
  •  L’APL[1] – budget 2021 de 163 milliards d’euros – et le laboratoire P4 à Wuhan ont œuvré dans un projet pour trouver des virus animaux. Avec le général Chen Wei, le plus grand expert en guerre bactériologique.

La production du coronavirus à partir de manipulations génétiques semble crédible

La diffusion du coronavirus résultant d’une fuite du labo P4 semble crédible :

  • Cette fuite est accidentelle, dans le meilleur des cas …
  • Cette fuite pourrait aussi être intentionnelle, organisée, planifiée.

Je pencherai donc pour d’autres hypothèses avec une probabilité de 99.34%.

Hypothèses réfutées violemment par la Chine, même si la Chine a révélé récemment des cas remontant au 17 novembre, dont trois chercheurs de l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV) auraient été hospitalisés … étaient-ce les premiers ?

Arme biologique ?

Ce virus serait-il l’arme biologique de la Chine ?

Les agents biologiques peuvent être produits facilement et rapidement. La difficulté principale n’est pas la production de l’agent biologique mais sa dissémination sous une forme infectieuse vers une cible vulnérable.

Les autorités chinoises se préparent depuis six ans à une troisième guerre mondiale à base d’armes biologiques et génétiques.
Une équipe de cinq experts militaires – dont le Général Chen Wei, expert en guerre bactériologique – ont mené des recherches dans le laboratoire WIV de 2012 à 2018.

Une arme idéale : virulence, production, transmission et dissémination facile, ce qui correspond au coronavirus. Le virus aurait été élaboré comme arme biologique, ciblant des groupes ethniques spécifiques non asiatiques.

Ce que sous-tendent aussi :

  1. Une étude de l’Institut Pasteur du 20/10/2016
  2. Une étude de MP-IDSA en 2019 (défense indienne) dans CBW MAGAZINE
  3. Les travaux du CDC (USA) qui étudient l’impact du virus selon les ethnies.
  4. La capture mondiale des données génétiques des femmes enceintes (test NIFTY)
  5. Un récente analyse basée sur les méthodes de production des vaccins chinois.

Étude de l’Institut Pasteur du 20/10/2016

Des millions de polymorphismes jalonnent le génome de tout individu. La composition exacte en allèles est spécifique à cet individu et elle embarque une part d’information sur la ou les populations humaines auxquelles lui et ses ancêtres appartiennent.

On retrouve notamment des traces d’ADN de chinois dans des populations de l’est de l’Afrique, héritage des expéditions pendant le Haut Moyen Age.

Données cliniques et génétiques des étrangers

Selon la revue Indienne MP-IDSA sur la Défense Chinoise (2019), les entreprises de biotechnologie chinoises ont pu collecter les données cliniques et génétiques de citoyens étrangers.

Capture de données génétiques – Test de grossesse NIFTY

Le test prénatal NIFTY effectué par des millions de femmes enceintes dans le monde a été développé par le Beijing Genomics Institute et lui permet de collecter leurs données génétiques.
Ces mégadonnées aident à intégrer l’Intelligence Artificielle dans la biotechnologie, et peuvent être utilisées de manière offensive :  ces données révèlent les vulnérabilités génétiques de populations spécifiques. En particulier pour l’impact du Coronavirus sur les différentes ethnies.

Ce qui conforte les analyses du Centers for Disease Control and Prevention ci-dessous.

Travaux du CDC (USA) – Juin 2021

Depuis plus de 60 ans, le CDC se consacre à la protection de la santé et à la promotion de la qualité de vie grâce à la prévention et au contrôle des maladies, des blessures et des handicaps. Leurs programmes visent à réduire les conséquences sanitaires et économiques des principales causes de décès et d’invalidité.

Production des vaccins chinois

Le plan de production de vaccins du Parti communiste chinois (PCC) révèle la tentative du régime de profiter de la pandémie. Un rapport du 25 mars mentionnait que le CCP avait formulé cinq stratégies de R&D pour le développement de vaccins au début de 2020 et avait commencé à déployer divers prototypes.

L’une de ces cinq technologies vaccinales est venue du général de division Chen Wei, l‘expert en chef des armes biochimiques militaires du PCC, et de son équipe.

Le 9 janvier 2020, création d’une équipe l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) et l’Institut des produits biologiques de Wuhan pour développer des vaccins.
Parmi toutes les équipes de R&D sur les vaccins impliquées, des dates de démarrage spécifiques ont été publiées pour deux sociétés :

  • La R&D sur les vaccins de Sinopharm a été officiellement approuvée et a commencé le 19 janvier 2020.
  • Le projet de vaccin COVID-19 de CanSino Biologics basé à Tianjin a été approuvé et a démarré le 20 JANVIER 2020.

Un expert a souligné que « la fabrication de vaccins est une entreprise où une combinaison presque infinie de choses doit fonctionner parfaitement ». Il faut généralement plusieurs années pour concevoir un prototype de vaccin, puis développer de nouveaux vaccins.

Même si les compétences de recherche sur les vaccins et la capacité de fabrication de la Chine ont atteint le même niveau que celles des États-Unis, le processus de culture des micro-organismes requis pour les essais cliniques et la production de vaccins ne peut être ni comprimé ni accéléré.

Pourquoi encore le PCC a-t-il mobilisé toutes les forces disponibles, y compris ses unités militaires de guerre biologique pour la recherche et le développement à grande échelle de vaccins ?

 

 

 

[1] Armée Populaire de Libération